Gestalt praticienne Patricia Figoni

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Pourquoi consulter

À qui s’adresse la Gestalt Thérapie ?

J’accompagne en individuel sur des thématiques variées : Confiance en soi, lâcher prise, anxiété, souffrance au travail, situation de deuil, rupture, difficultés à prendre des décisions, désir de mieux se connaître et de vivre pleinement… 
Je vous invite à m’interroger en direct sur votre besoin et demande.
Je suis aussi spécialisée en Thérapie de couple et peut vous aider à maintenir et développer l’harmonie de votre couple ou vous aider à dépasser une situation compliquée.
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Les thématiques les plus courantes de point de départ des thérapies

Confiance en soi

En Gestalt, la confiance en soi se construit à partir de l’expérience vécue, du contact authentique avec l’environnement et de la reconnaissance de ses propres ressources. Elle se renforce dans l’ici et maintenant, en osant se confronter à ses limites et à ses potentiels.

Lâcher prise, c’est renoncer au contrôle pour s’ouvrir à l’expérience telle qu’elle se présente, avec ce qu’elle comporte d’incertitude. En Gestalt, cela implique d’accueillir ses ressentis et de faire confiance au processus de contact avec soi et avec l’autre.
L’anxiété est perçue en Gestalt comme une perte de contact avec le présent, souvent liée à une anticipation de ce qui pourrait arriver. Le travail thérapeutique vise à revenir à l’instant, à réguler les sensations corporelles et à redonner du sens à ce qui se vit.
La souffrance au travail peut révéler un désajustement entre les besoins profonds de la personne et l’environnement professionnel. En Gestalt, on explore les zones de conflit, les non-dits, les loyautés invisibles et les possibles ressources de changement.
En Gestalt, la thérapie de couple vise à restaurer le dialogue vivant entre les partenaires, en éclairant les dynamiques relationnelles figées. Le couple devient un espace d’expérimentation pour retrouver du lien, de la présence et une co-création consciente.
Le stress est vu comme un excès de stimulation ou une difficulté d’ajustement à l’environnement. L’accompagnement gestaltiste aide à identifier les signaux internes, à restaurer un équilibre entre action et repos, et à mobiliser des réponses plus ajustées.
La maltraitance, qu’elle soit physique, psychique ou émotionnelle, est un contact déformé, destructeur ou inexistant avec l’autre. En Gestalt, le processus thérapeutique permet de redonner une place à l’estime de soi, à la sécurité intérieure et à la réparation.
En Gestalt, l’agressivité n’est pas vue comme négative en soi : c’est une énergie vitale au service du contact et de l’affirmation de soi. Le travail consiste à différencier l’agressivité destructrice de celle qui permet de poser des limites et d’exister pleinement.
Le deuil est un processus de réajustement à une perte, qui bouleverse nos repères internes et externes. En Gestalt, il s’agit d’accompagner les émotions, de soutenir le vécu corporel et symbolique de la séparation, et de permettre l’émergence d’un nouveau sens.
Le développement personnel, en Gestalt, passe par une meilleure conscience de soi, de ses modes de fonctionnement et de sa façon d’être en relation. Il s’agit moins de devenir quelqu’un d’autre que de s’autoriser à être pleinement soi.
La crise existentielle est une rupture intérieure qui questionne profondément le sens, les valeurs et les choix de vie. En Gestalt, on accueille cette traversée comme une opportunité de transformation, en reconnectant la personne à son vécu authentique.
La dépression peut être vue comme un retrait du contact, une perte d’élan vital face à des conflits non résolus ou des besoins étouffés. En Gestalt, on accompagne le retour progressif à l’expérience, à la sensation vivante et au désir de relation.
L’addiction est une tentative, souvent répétitive et compulsive, de gérer une souffrance ou une difficulté de contact. En Gestalt, on explore ce que l’addiction vient éviter, tout en soutenant la construction de nouveaux ajustements plus nourrissants.

La phobie exprime une peur intense qui fige le contact et déforme la perception de la réalité. En Gestalt, on travaille sur la réappropriation du ressenti corporel et sur la sécurité intérieure pour rétablir un lien plus souple avec l’environnement.

Le bien-être émotionnel naît d’une capacité à accueillir et à exprimer librement ses émotions, sans les fuir ni les subir. En Gestalt, cela passe par un travail de conscience, d’acceptation de soi et de fluidité dans le contact avec les autres.
Les aptitudes sociales se développent par l’expérimentation relationnelle et la reconnaissance des ajustements nécessaires à un contact nourrissant. La Gestalt favorise cette conscience de l’interaction, du rythme, des besoins et des limites de chacun.